A l’aube de son quarantième anniversaire elle cherche des raisons de s’accrocher au positif, de croire à nouveau en l’amour.
C’est alors qu’elle obtient un boulot de lectrice pour une maison d’édition. Le manuscrit qu’elle doit lire s’intitule « doux blasphème » et relate l’histoire de Shams de Tabriz et Rûmi.
Intriguée par la positivité de Shams, elle envoie un mail à l’auteur du livre, Aziz Zahara à qui elle raconte des morceaux de sa vie de ménagère.
Leur conversation va évoluer au fil du temps et prendre des allures très intéressantes.
Ce livre nous réconcilie avec l’amour sous toutes ses formes.
D’abord, il nous apprend que l’amour est une religion, une religion que l’on doit pratiquer avec tous ceux qui nous entourent.
Ensuite que l’on doit développer notre spiritualité et notre amour pour arriver à vivre en parfaite harmonie dans ce monde. Enfin, que par la gratitude, l’amour propre et l’amour du prochain, on arrive à créer un monde meilleur. Soufi, mon amour est tout simplement une leçon de vie.
Je vous laisse méditer cette règle de l’amour : « Quoi qu’il arrive dans ta vie, si troublant que tout te semble, n’entre pas dans les faubourgs du désespoir. Même quand toutes les portes restent fermées, Dieu t’ouvrira une nouvelle voie. Sois reconnaissant ! Il est facile d’être reconnaissant quand tout va bien. Un soufi est reconnaissant non pas pour ce qu’on lui a donné, mais aussi pour ce qu’on lui a refusé. »
L'avis du délirien: ⭐⭐⭐⭐
J'ai beaucoup aimé ce livre , conseillé par ma fille Marie. Son coté mystique est assez envoutant et ne peut laisser indifférent.
A propos de l'auteur:
Elif Shafak née le à Strasbourg, est une écrivaine turque. Elle vit et travaille à Londres.
Primée et best-seller en Turquie, Elif Şafak écrit ses romans aussi bien en turc qu'en anglais.
Elle mêle dans ses romans les traditions romanesques occidentale et orientale, donnant naissance à une œuvre à la fois « locale » et universelle. Féministe engagée, cosmopolite, humaniste et imprégnée par le soufisme et la culture ottomane, Elif Şafak s'attaque dans ses écrits à toute forme de bigoterie et de xénophobie.
Le soufisme joue un rôle central dans l'écriture d'Elif Şafak[], mais n'est abordé directement qu'avec son roman Soufi, Mon amour. Publié en , le roman s'est propulsé directement à la première place des romans les plus vendus depuis plusieurs décennies en Turquie.
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