La lecture de Martine.D: " Les conquérantes" : Tenez bon les filles !

Cette œuvre littéraire en 3 volumes a un titre évident dans cette période où le féminisme s’affirme chaque jour davantage. 

Chaque volume a un sous-titre plutôt encourageant :

Tome 1 Les chaînes 1890-1930

Tome 2 La résistance 1930-1960

Tome 3 Un souffle d’indépendance….

Si vous aimez les sagas familiales et l’histoire, vous devez lire ce roman. Clémence, héroïne de cette saga, promise au même destin de femme soumise que sa mère, n’aura de cesse, tout au long de sa vie de de se libérer de ses chaînes. Dans son sillage, ses filles continueront peu à peu cette difficile conquête.

L'avis du Délirien: ❤❤❤

Pourquoi avons-nous aimé ce roman ?

La lecture est aisée et très bien documentée. Cette saga présente des héros et héroïnes évoluant dans des situations historiques sociales qui sont passionnantes tant il y a de détails. 

L’auteur mêle très bien l’histoire à la fiction et nous emporte dans cette fresque romanesque.

C’est un véritable coup de cœur ! un livre que les grands-mères et les petites-filles doivent partager ! Le plus surprenant et encourageant c’est que cet hymne au féminisme conquérant a été écrit par un homme. Messieurs, vous êtes invités à vous plonger dans cette lecture.

A propos de l'auteur:

Né à Paris en 1951, il fait ses débuts de journaliste culturel à Combat en 1973, auprès de Marcel Claverie. L'année suivante, il intègre l'équipe du Quotidien de Paris à sa création, auprès d'Henry Chapier et Philippe Tesson. Il y anime la rubrique Théâtre où il rédige de nombreux articles consacrés à la scène théâtrale européenne, de Patrice Chéreau à Giorgio Strehler. En parallèle, il collabore aux pages de plusieurs publications culturelles: Les Nouvelles littéraires, Le Cahier de l'Odéon, la revue de la Comédie-Française, le journal du Théâtre de la Ville. 

A partir de 1982, il collabore à Paris Match où il met à l'honneur des écrivains d'envergure internationale dont Alberto Moravia, Anthony Burgess, Graham Greene, Henri Troyat, Hervé Bazin, et de grandes figures du monde artistique comme Léo Ferré, Philippe Noiret, Jean Anouilh, Peter Brook… En 1986-87, il est critique dramatique à France-Soir où il succède à François Chalais

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